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Promenons-nous dans les forêts d'Europe

1. Pourquoi un projet sur les forêts européennes ?  

« Promenons-nous dans les forêts d’Europe » propose d’appréhender la forêt comme espace naturel et géographique mais aussi comme lieu investi par l’homme, et, en tant que tel, carrefour d’interactions et de créativité.

Un aspect important du patrimoine européen : 

Les forêts couvrent une grande partie du territoire de l’Union européenne. Dans certains pays, comme la Finlande, la Suède, les pays baltes ou la Slovénie, la forêt couvre plus de la moitié du territoire.

 

Elles sont aussi un aspect clé de la politique européenne en faveur du développement durable : dans le cadre de l’Education au Développement Durable (EDD), la préservation de la biodiversité et des écosystèmes est un des objectifs de développement durable (ODD4), à l’échelle de l’Union Européenne et à l’international.

 

Préserver les forêts de la destruction – et notamment de l’abattage des arbres pour les besoins du commerce et de l’industrie – est une préoccupation ancienne en Europe, comme en atteste ce poème de Ronsard, qui s’effraie des coupes faites dans la forêt de Gastine :

Écoute, bûcheron, arrête un peu le bras ;
Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas ;
Ne vois-tu pas le sang lequel dégoutte à force
Des nymphes qui vivaient dessous la dure écorce ?

(Ronsard, Elégies, XXIV)

Ou bien le fait qu’une partie de la forêt de Fontainebleau soit classée « réserve artistique » en 1853, suite à l’envoi d’une lettre pathétique au duc de Morny par les peintres du groupe de Barbizon :

« Permettez-moi de venir au nom de l’art vous demander justice contre des faits qui, depuis

30 ans, attristent profondément les artistes. Je veux parler des dévastations qui se

commettent par l’administration elle-même dans la forêt de Fontainebleau. Cette forêt, la plus

antique de France, est aussi la plus remarquable par ses sites et son caractère tout particulier

de grandeur et de beauté. »

(Théodore Rousseau et Alfred Sensier, lettre adressée au comte Morny, Paris, musée du Louvre. (citée dans le cadre de l’exposition Théodore Rousseau, la voix de la forêt, Petit Palais, du 05 mars 2024 au 07 juillet 2024))

Cette image représente une huile sur toile de Théodore Rousseau, datant de 1847, Le massacre des innocents. Collection Mesdag, La Haye.

Théodore Rousseau, Le Massacre des Innocents, 1847, huile sur toile,

95 cm×146,5 cm. La Haye, Collection Mesdag

Unité dans la diversité : 

Les forêts européennes sont diverses du point de vue biologique et écologique. Mais elles témoignent aussi de manières variées d’exploiter, de représenter, de penser et d’imaginer, bref d’habiter un espace naturel. Des pinèdes au Sud de l’Europe aux forêts boréales en passant par la grande forêt primaire de la Bialowieza, ce sont des paysages très variés que nous proposons d’étudier.

Au-delà des frontières, les forêts peuvent aussi parfois constituer des “ponts” (ou des “trames”) qui relient les populations du continent. Ainsi, il y a peut-être plus de proximité entre les façons d’habiter la forêt méditerranéenne dans les mondes grec, italien, corse... qu’entre des forestiers du Jura et ceux de la pointe du Cap Corse, pourtant habitants d’un même État-nation.

Cette image représente une carte européenne montrant la répartition des forêts, des paysages et de leur diversité :
-	Forêt de conifères du Parc National de Tresticklan en Suède,
-	Le massif vosgien, une forêt exploitée en France,
-	La forêt landaise, une forêt artificielle en France,
-	Entre garrigue et maquis corse en France (Corse),
-	La forêt de Bialowieza, dernière forêt primaire d’Europe en Pologne,
-	La forêt de hêtres du parc national de Kalkalpen en Autriche.

Pluri- ou interdisciplinarité des activités : 

Les forêts peuvent s’étudier en sciences naturelles comme en Histoire-Géographie. Par ailleurs, elles recèlent un fort pouvoir sémantique et symbolique, ce qui en fait le thème central ou l’arrière-plan de nombreuses œuvres littéraires ou artistiques accessibles aux élèves : la forêt des contes recèle dangers divers et monstres, mais elle est aussi le lieu d’une possible quête d’identité, d’une affirmation du héros dans son identité. L’arbre est aussi lieu d’habitation et de refuge d’êtres minuscules et plus grands qui interagissent de diverses manières avec les êtres humains.

Cette image place en son centre la forêt comme objet d’étude commun offrant divers entrée de travail et de réflexion :
-	Rechercher des informations,
-	Explorer son identité de citoyen,
-	Interagir avec le monde vivant,
-	Développer son autonomie,
-	Être attentif aux émotions et à leur expression par différents langages,
-	Observer le monde vivant et la biodiversité,
-	Respecter l’environnement,
-	Comparer l’espace naturel proche avec d’autres espaces comparables en Europe.

Des connaissances ou des compétences que l’on peut appréhender de façon sensible : 

Le projet propose des activités en milieu naturel qui susciteront questionnements et recherches à poursuivre en classe : nous commencerons par organiser une sortie en forêt qui permettra de collecter des matériaux, relever des traces, aiguiser les perceptions et apprendre à identifier et repérer des points « remarquables ». Il s’agira de nourrir l’approche scientifique faite en classe en proposant une approche sensible du rapport au vivant, favorisant le respect et la compréhension des êtres vivants à travers des expériences directes et des réflexions éthiques. Il s’agira aussi de s’interroger sur la façon de regarder le paysage en comparant les points de vue des artistes et ceux des géographes.

2. Objectifs pédagogiques généraux

Nous chercherons à mieux connaitre certains aspects de la culture européenne à travers : 

-              L’observation du monde vivant et de la biodiversité et leur appropriation par des pratiques artistiques et sportives.​ 

-              La recherche d’informations scientifiques, géographiques, historiques.

-              L’attention aux émotions et à leur expression par différents langages : verbaux, corporels, artistiques.

-              La lecture de textes et de documents et la production de cartes et de descriptions de la forêt européenne.

-              La comparaison de l’espace naturel proche avec d’autres espaces comparables en Europe. 

Il s’agira de partir d’une observation de ce qui est proche de nous pour aller à la découverte d’autres modes de voir, de représenter, d’exploiter ou de vivre. 

3. Architecture possible sous forme de projet interdisciplinaire

Les activités variées qui prendront leur origine (leur racine) dans la sortie en forêt – qu’il s’agisse de décrire ou de poser des questions, de lire ou d’écrire, d’expliquer ou de comparer ce que l’on a vu, senti, touché ou entendu avec des ressources artistiques ou scientifiques – s’organiseront, au gré des envies ou des possibilités de l’enseignant et de ses élèves, de façon à déboucher sur une production à laquelle on pourra donner une certaine visibilité, par exemple un spectacle dansé, une course d’orientation, une exposition – commentée par les élèves – des travaux effectués.

Cette image représente sous la forme des ramifications d’un arbre, un travail d’un groupe d’élèves schématisant, par des verbes d’action, les multiples interactions sensibles possibles au cours et à partir d’une promenade en forêt : Regarder, Sentir, Écouter, Toucher, Ramasser, Observer, Dessiner, raconter, Présenter un spectacle, comparer avec d’autres forêts, lire, comprendre, photographier, et bien d’autres…

4. Exemples de projets interdisciplinaires développés dans la mallette

Une sortie en forêt servira à collecter des traces et des émotions sous forme de photos, de récoltes, de dessins, d’écritures, d’enregistrements sonores…​ 

En classe, nous proposons de mener un projet interdisciplinaire, avec au choix : 

 

  • Dansons les forêts d’Europe : en partant de la question « Pourquoi certains arbres restent-ils verts et d’autres perdent-ils leurs feuilles en hiver ? » les activités menées en sciences, en français et en danse (EPS) chercheront des réponses tant imaginaires (le conte propose une interprétation qui permet d’aborder aussi la notion du rejet et de l’accueil de l’autre en détresse) que scientifiques pour aboutir à une représentation de la répartition en Europe des arbres feuillus et persistants.

  • Organiser une course d’orientation (EPS) et analyser des « points remarquables » (SVT)​ : la course d’orientation initiale en forêt permet de travailler sur les caractéristiques des points remarquables de l’environnement dans plusieurs disciplines - EPS (course d’orientation) et sciences (découverte et questionnement du monde). Cette activité peut renforcer la construction d’une identité européenne, notamment lors d’une participation à des échanges physiques ou virtuels entre établissements européens, à travers : 

- L’éducation à la coopération pour favoriser ainsi un sentiment d’appartenance à une communauté plus large

- La découverte du patrimoine (sites historiques et/ou naturels) de différents pays européens

- La sensibilisation à l’importance de la préservation des espaces naturels qui peut contribuer à construire une conscience écologique partagée 

  • Varier les points de vue sur le paysage (géographie, EMC et arts) : Au croisement des regards géographique et esthétique, nous explorerons la forêt européenne sous divers angles et échelles. Nous apprendrons à observer, sentir et comprendre les forêts en combinant une approche sensible du paysage et une analyse de son organisation. L’observation des lieux, enrichie par des représentations picturales de forêts européennes, permettra de classer les paysages et d’interroger leur organisation et évolution. Les élèves produiront des écrits basés sur des observations et relevés sonores, ainsi qu’un jeu de type « sept familles » des forêts d’Europe, illustrant paysages, essences d’arbres et usages. Une carte des forêts vues par différents peintres et une comparaison avec des photographies compléteront l’analyse géographique.

5. Croisement projet/programmes

Discipline : Français

Cycle & référence Bulletin officiel :

Programme du Cycle 2

Programme du Cycle 3

Programme du Cycle 4

Compétences :

Cycle 2 

Les cinq activités langagières permettant d’édifier la connaissance et la pratique de la langue seront mobilisées par le projet : comprendre un énoncé oral, parler en continu, parler en interaction, écrire et lire.

Il est important, notamment à travers des lectures orales effectuées par le professeur, de favoriser l’apprentissage de la compréhension de textes résistants. Un conte, qui fait partie des écrits patrimoniaux fondateurs à privilégier, sera l’objet d’un travail de compréhension. Des séances d’enseignement explicite du vocabulaire et de la production écrite pourront être développées à partir du projet.

Cycle 3 :

Le travail de la langue orale et celui de la production de textes courts et d’écrits de travail sera favorisée à travers ce projet qui peut donner lieu à des moments de production orale et écrite nombreux et variés.

Le travail de la compréhension, qui doit se faire en cycle 3 à travers des lectures plus autonomes de textes de types variés et dans différentes disciplines pourra s’organiser dans la mise en relation de textes relatifs au thème de la forêt mais recourant à des modalités de discours tantôt littéraires ou artistiques et tantôt scientifiques pour permettre de comparer des points de vue différents sur un même objet d’étude.

Des pratiques de l’écrit diverses seront mises en place, et notamment des écrits de travail, comme base ou comme résultat de l’observation et de la réflexion élaborée individuellement ou collectivement.

Cycle 4 :

L’entrée “Regarder le monde, inventer des mondes” pourra être travailler en faisant dialoguer observation de la forêt et lecture de documentaires scientifiques et géographiques avec œuvres picturales et contes ayant comme décor la forêt - pour comprendre comment des valeurs symboliques différentes peuvent être mobilisées.

L’entrée “L’être humain est-il maître de la nature ?” pourra aussi être travaillée grâce à ces projets, notamment grâce aux activités proposées dans “regards croisés sur les forêts d’Europe”.

Discipline : EPS (Course d'orientation)

Cycle & référence Bulletin officiel :

Cycle 2

Cycle 3

Cycle 4

Compétences :

Cycle 2 :

Par ce projet, l’attendu de fin de cycle 2, « Réaliser un parcours d’orientation en adaptant ses déplacements à un environnement inhabituel dans un espace aménagé et sécurisé » pourra être travaillé en pratiquant la course d’orientation dans un espace de moins en moins connu. Cela suppose de construire la compétence à lire le milieu, le décoder avant de s’y engager pour prévoir un déplacement.

Cycle 3 :

Durant ce cycle, les contenus d’enseignement sont axés sur la construction de techniques et d’habiletés pour choisir des déplacements adaptés, sur la capacité à suivre un itinéraire prédéfini puis à choisir un itinéraire de déplacement, à se réorienter en cas d’erreur de déplacement.

Cycle 4 :

A ce niveau, les balises s’éloignent du point de départ, la carte de référence se complexifie, le milieu de pratique est plus grand, plus ou moins connu. La gestion des ressources pour maintenir son engagement physique, l’adaptation de l’allure en fonction du parcours, l’adaptation du parcours en fonction de ses capacités sont des contenus à aborder.

Discipline : EPS (Danse)

Cycle & référence Bulletin officiel :

Cycle 2

Cycle 3

Cycle 4

Compétences :

Cycle 2 :

Par ce projet, l’attendu de fin de cycle 2, « Exploiter le pouvoir expressif du corps en transformant sa motricité et en construisant un répertoire d’actions nouvelles à visée esthétique” pourra être travaillé grâce à l’inspiration que constituent les photos des arbres, la mise en mots avec l’emploi du vocabulaire adapté et/ ou les récits étudiés qui joueront également un rôle de support.

Cycle 3 :

Tous les attendus de fin de cycle et toutes les compétences citées dans les programmes pour le champ d’apprentissage “S’exprimer devant les autres par une prestation artistique et/ou acrobatique", dans lequel s’inscrit la danse, pourraient être travaillés à travers ce projet. A ce niveau, le propos chorégraphique et les mouvements sont davantage complexes et élaborés qu’au cycle 2.

Cycle 4 :

De façon similaire, tous les attendus de fin de cycle et toutes les compétences citées dans les programmes pour le champ d’apprentissage “S’exprimer devant les autres par une prestation artistique et/ou acrobatique", dans lequel s’inscrit la danse, pourraient être travaillés à travers ce projet. Avec pour conséquence, des projets chorégraphiques plus longs, reposant sur l’utilisation intentionnelle de procédés de composition variés et des mouvements davantage abstraits.

Discipline : Sciences et technologie

Cycle & référence Bulletin officiel :

Cycle 2

Cycle 3

Compétences :

Cycle 2 :

Au cycle 2, il s’agit de “Questionner”, d’une part, le monde du vivant, de la matière et des objets en apprenant à le reconnaître par ses caractéristiques, ses interactions, sa diversité ; d’autre part, l’espace et le temps, en apprenant à se situer dans l’espace (se repérer dans l’espace et le représenter, situer un lieu sur une carte ou un globe ou sur un écran informatique) et dans le temps (se repérer dans le temps et le mesurer, repérer et situer quelques événements dans un temps long).

Cycle 3 :

Au cycle 3, le vivant est abordé à travers sa diversité (biodiversité actuelle et passée) et les fonctions qui le caractérisent, ainsi que leur organisation. Les organismes sont classés et la classification du vivant amène à établir des liens de parenté entre espèces.

Les notions de cycle de vie et de reproduction, en lien avec le peuplement des milieux, sont étudiées, ainsi que l’écosystème (structure, fonctionnement et dynamique - place et interdépendance des êtres vivants dans les chaînes alimentaires dans un réseau trophique et conséquences des actions humaines sur l’environnement).

Discipline : Géographie (et Histoire)

Cycle & référence Bulletin officiel :

Cycle 2

Cycle 3

Compétences :

Cycle 2 :

Au cycle 2, les élèves sont amenés à se “repérer dans” et à “représenter” un espace d’abord très proche et local puis à élargir leur champ d’observation. Il s’agit de les aider à comprendre que cet espace est organisé par les sociétés humaines qui le pratiquent et l’aménagent, et que d’autres organisations existent ailleurs.  Par ce projet, les élèves seront amenés à réaliser des observations sur le terrain, des explorations et des descriptions de paysages de forêts, qu’ils pourront ensuite mettre en regard avec des descriptions d’espaces plus éloignés.

Cycle 3 :

Par ce projet, au cycle 3, les élèves travailleront les compétences relatives à la construction de repères géographiques, au niveau régional et européen. Ils poursuivront le travail en vue de la maîtrise de langages variés et construiront progressivement leurs compétences en matière de démarche scientifique. Le projet permet d’étudier différentes facettes de la notion “d’habiter” les espaces forestiers. Il amène à s’intéresser à leur organisation, mais aussi aux façons dont ceux-ci pourraient être “mieux habités” dans une perspective de développement durable.

Discipline : Histoire des arts

Cycle & référence Bulletin officiel :

Cycle 2

Cycle 3

Compétences :

Cycle 2 :

Les élèves sont sensibilisés aux œuvres grâce à des rencontres et des approches sensibles et raisonnées : première culture artistique en cycle 1 et sensibilisation (émotion, description, évocation) ; premiers outils d’analyse en cycle 2 (constituants de l’œuvre, notions spécifiques aux différents langages artistiques) et approche sensible.

Cycle 3 :

L’élève acquiert les premiers outils d’appréciation et de compréhension des œuvres, développe son rapport sensible au monde et à son environnement ainsi que son jugement de goût et son esprit critique. L’engagement de l’élève, sa curiosité et son ouverture sont au cœur de cet enseignement, lui permettant de devenir progressivement, un spectateur averti, un amateur éclairé.

6. Vers des activités e-Twinning 

Logo eTwinning.

Promenons-nous dans les forêts d’Europe peut donner lieu à des projets e-Twinning qui proposeraient par exemple :

  • De créer une carte commune interactive des forêts d’Europe où chaque classe partagerait les renseignements collectés sur une ou plusieurs forêts.

  • De danser la forêt des autres : chaque classe produirait un recueil de photos d’arbres ou de bosquets remarquables, qu’elle diffuserait à d’autres classes et recevrait en retour, le recueil des autres. Ces recueils seraient sources d’inspiration pour créer des chorégraphies encadrées par des contraintes communes, entre autres de durée et de nombre. Les productions chorégraphiques pourraient être filmées. Ces courtes vidéos seraient ensuite échangées et/ ou mutualisées (projet de référence : les cartes postales chorégraphiques de Dominique Hervieu).

  • De partager des paysages de forêts, après avoir examiné différentes représentations de la forêt (en peinture notamment), les classes produiraient et échangeraient des représentations de la forêt qui est proche de chez eux pour construire un album partagé des forêts européennes et de leur représentation.

  • De créer un e-book des arbres de l’Europe constitué de fiches descriptives d’arbres agrémentées de photos prises dans l’environnement proche de chaque classe.

  • De créer un quizz collectif sur les forêts d’Europe avec lequel des groupes de chaque classe pourrait affronter d’autres groupes.

Si une mobilité peut être envisagée, on pourrait également préparer une course d’orientation pour la classe que l’on accueille.

7. Bibliographie et sitographie

8. Points de vigilance pour mener les projets en classe

 - Cette partie sera complétée après retours sur des expérimentations observées ou menées sur le terrain -

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